La légende de Ur

Il fut un temps, suivant le grand déluge, où l'humanité coexista avec d'autre êtres appelé mésuriens. Ils étaient en tout point semblables aux humains, mais n'en étaient pas. Ces derniers ne vénérer aucun dieux ci ce n'est le créateur même. Ils vivaient en petit nombre, un peuple d'à peine cent ou deux cent personnes, pas plus. Ils avaient élu domicile dans une grande grotte où il battirent leur premières cité en parallèle de celle des humains Uruk. Cette ville sans nom était prospère, et un calme y régner.

Un matin, sur la place centrale qui était éclairé par la lumière du soleil qui passait par le plafond troué, on y trouva une chose curieuse. Un bébé. Une petite fille ne semblant pas avoir plus d'un mois. On se questionna sur sa provenance, sur sa famille, sur les raisons de sa présence. C'est un vieux couple qui n'avait pas d'enfant qui la recueilli mais à peine la prirent ils sous leurs ailes que l'enfant montra sa différence.

C'était une petite fille avec des boucles blanches comme la neige, des yeux intense, tantôt blanc, tantôt remplis d'un arc en ciel celons comment on la regarder, et ceux alors que dans son peuple on avait les cheveux et les yeux rouges, ou bien les cheveux et les yeux bleus, ou bien les cheveux et les yeux vert. Elle étonna d'autant plus que cette petite curiosité grandissait bien plus vite que les autres bébé. A six mois, elle paraissait déjà avoir un an, savait marcher et un peu parler, à un an elle en paraissant quatre ou cinq, elle savait lire, compter et écrire. A l'âge de cinq ans, elle en paraissait dix, ses petites boucles blanches avait laisser place à une splendide et sauvage chevelure bouclé et ondulé d'un blanc nacré. Elle ne jouait pas avec les autres, elle préférait contempler la nature et parlait de sujet complexe avec les adultes. Les anciens érudits eux même étaient stupéfait par ses connaissances et ses talent dans de nombreux domaine car, en effet, elle savait coudre, jouer de la musique, écrire, lire, compter et même se battre parfaitement car homme comme femme devait pourvoir se battre si jamais le roi Scarlet, crains par tous, devait revenir.

C'est quand elle atteint l'âge de quinze ans, a ce moment là elle en paraissait plus de vingt, que l'on se décidé à lui trouver un prénom et un mari. On chercha alors le meilleur partie pour une enfant aussi belle, gracieuse et talentueuse, et pendant ces recherches, les anciens statuer sur son nom comme il était coutume en ce temps.

Ur, "l'âme", "le cœur". Cela était parfait pour celle qui avait le plus cœur, le plus généreux du peuple.

Ur fut ainsi emmener auprès des plus beaux jeunes hommes, il y en avait là cinq: Gud dit le guerrier, Ida un marchant qui posséder son propre navire et assurer le commerce entre humains et mésuriens, Kug le forgeron, Gul un bâtisseur et Udu un jeune berger.
On demanda alors à la jeune femme d'en choisir un mais elle s'y refusa et demanda ceci.
"Je n'épouserai qu'un homme capable d'être meilleur que moi dans un des domaines que je maîtrise."
Tous furent surpris, mais désireux de posséder une épouse si habile, ils acceptèrent, sûre et certains de pouvoir malgré tout la battre dans des métiers considérer comme masculins.

Tout d'abord Gud, meilleur guerrier de la ville sans nom, la défia en combat. Lui s'arma d'un sabre alors que la jeune femme pris un bâton. Il rigola et s’élança pour ne frapper que du vide, cette dernière ayant éviter le coup sans le moindre effort, il recommença plusieurs fois sans sucés jusqu'à ce que la belle le désarme et l’assomme avec une impressionnante habileté.
"La force brute ne fait pas tout. Il faut savoir anticiper, s'économiser et ne jamais sous-estimer un adversaire."

Humilié, il laissa la place à Ida, un homme riche et cupide qui voulait avoir une femme pour augmenter son prestige. D'une grande intelligence, il exceller dans le calculs mental et dans le troc. C'est aux calculs qu'il défia la belle qui une fois encore, remporta la victoire avec une grande facilité.

Alors, ce fut le tour de Kud, le forgeron. Lui comme elle reçu le défit de créer la plus belle chose possible qui sera la plus apprécier par le reste de la communauté et ceux en trois jours. Tous deux s’attelèrent à cet tache. Au bout des trois jours, Kud présenta une épée très apprécier des hommes tandis que Ur présenta un petit couteau, servant à tous faire qui fut apprécier des hommes, comme des femmes. Ur l'emporta une fois encore.

Quand ce fut le tour Gul le bâtisseur, il abandonna sans même concourir, laissant directement sa place au dernier prétendant, Udu le berger.
Cette fois, l'épreuve fut à la porter de tous: le premier à finir de nettoyer et filer une pelote de laine. Ils s'y attelèrent et durant cet épreuve, Ur discuta longuement avec le jeune homme qui vivait le plus simplement du monde. Il ne voulait pas vraiment se marier, il aimait vivre avec ses bêtes sous le soleil là où les autres aimait l'ombre de la grotte. Il aimait la nature, dormir dans l'herbe contre le ventre de ses bêtes et écouter le souffle du vent, le ruissellement de l'eau dans les rivières et chants des oiseaux. C'est Udu qui finissa le premier tandis que Ur avait à peine commencer puisqu'elle écoutait ses histoires. Elle souria au jeune homme qui comprit : toute ces épreuves, elle non plus ne voulait pas se marier.

Le matin suivant, elle ressemblais le peuple sur la place où elle fut trouvé. Elle déclara d'une voix forte.

"Mes amis, je vais vous dire qui je suis. Je suis Ur, votre déesse. Il y a quinze, c'est votre bonheur et vos rires que le créateur fusionna pour me former moi. Non, je ne compte pas me marier mais je veillerai éternellement sur vous car vous êtes ma famille. J'ai grandis comme une mortel, et aujourd'hui, je m'élève en tant que déesse de la lumière."

Une lumière blanche entoura la jeune femme qui fut soudainement vêtu d'une splendide robe blanche, de bijoux et tenant un sceptre digne d'une reine. Elle s’éleva vers le sommet de la caverne, disparaissant dans la lumière qui provenait du trou au sommet.

A ce jour, on ne sait pas où est la ville, mais on dit que si on la trouve on pourra admirer la beauté de Ur qui fut immortalisé par une statue à l'emplacement même où elle naquit, illuminé par la lumière du soleil.

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